Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
3e de 6 parties
Note [36]
V. note [6], chapitre iii de la Brevis Destructio, pour le double sens que Jean ii Riolan donnait à circulatores, « charlatans forains » ou « colporteurs », assimilés aux médecins pragmatiques, et « partisans de la circulation harvéenne », dans l’Admonitio ad Medicos pragmaticos [Avertissement adressé aux médecins pragmatiques] de son livre sur la circulation hippocratique (1652), où il ne cite ni Sénèque, ni Galien ni les jurisconsultes.
V. note Patin 13/1011, pour l’excessive indulgence de la justice, personnifiée par la déesse Thémis.
La Faculté de médecine de Paris comptait autour de 120 docteurs régents. Les autres médecins de la capitale, dits étrangers (car non gradués à Paris), n’y exerçaient que sous certaines strictes conditions (v. note Patin 9/750).
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International.