Note [4]
Le succès médical de Jean ii Riolan ne tient pas à ses maigres découvertes (v. note [28], Responsio ad Pecquetianos, 6e partie), mais à la qualité littéraire, à l’esprit et à la clarté de sa plume, encore remarquable aujourd’hui et fort estimée dans un siècle où les savants pouvaient furieusement maltraiter le latin et endormir leurs lecteurs.
En dépit de leur singulier défaut d’illustrations, les deux ouvrages les plus remarqués de Riolan ont été l’Anthropographia [Anthropographie (Description de l’homme)] (1618, 1626 et 1649, v. note Patin 25/146) et l’Encheiridium anatomicum et pathologicum [Manuel anatomique et pathologique] (1648 et 1649, v. note Patin 25/150, et réédition posthume en 1658).
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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