Note [40]
« Je ne croirai pas que le reste t’a plu si tu ne me fais pas connaître ce qui t’a déplu » : Pline le Jeune (v. note [14], préface de la première Responsio de Jean ii Riolan), livre iii, fin de la lettre xiii écrite à son ami Romanus, pour obtenir un avis sur un discours que Pline avait écrit (sans contexte de flatterie de part ou d’autre),
Sed quid ego hæc doctissimo uiro ? Quin potius illud : adnota, quæ putaueris corrigenda. Ita enim magis credam cætera tibi placere, si quædam displicuisse cognouero.[Mais que dirai-je au très savant homme que tu es ? Bien plutôt ceci : annote ce que tu crois devoir être corrigé ; je croirai tout à fait que le reste t’a plu si tu me fais connaître ce qui t’a déplu].
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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