Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
2e de 6 parties

Note [40]

Julianus d’Alexandrie est un médecin du iie s. qui avait consacré 48 livres à critiquer les Aphorismes d’Hippocrate. Ce propos de Galien se lit au début de son petit livre Contre ce que Julianus a dit sur les Aphorismes (Kühn, volume 18a, pages 246‑247). Jean ii Riolan a recouru au Galien latin qui a été publié à Venise en 1565 (v. supra notule {a}, note [12]), volume 9, page 66 ro.

Les auteurs pouvaient solliciter l’avis de la Faculté de médecine de Paris sur leur livre, et elle pouvait aussi prendre elle-même l’initiative d’en donner un (alors généralement défavorable). La Compagnie confiait à deux ou trois de ses docteurs régents le soin d’examiner l’ouvrage. L’approbation de la Faculté était imprimée au début du livre, mais sa désapprobation n’interdisait en aucune façon l’impression (sauf censure de l’autorité royale). Aucun des ouvrages qui composent notre édition (pas même les Responsiones duæ de Riolan) ne contient d’imprimatur académique.


Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
2e de 6 parties, note 40.

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(Consulté le 08/12/2025)

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