Note [43]
« et non d’autres traités où il ne veut pas qu’on aille chercher » ; les prætermissa [omissions] de Jean ii Riolan contre Paul Markward Schlegel sont imprimées à la fin de sa Responsio ad duas Exercitationes anatomicas postremas Guillielmi Harvei… de Circulatione sanguinis [Réponse aux deux derniers Essais anatomiques de William Harvey… sur la Circulation du sang] (page indiquée) : {a}
Si velit Slegelius respondere Riolano, contineat se in istis opusculis postremis, nec inquirat in alios Tractatus, quia in re difficili et obscura, qualis est Circulatio Sanguinis, postremae cogitationes sunt sapentiores, Dies diei eructat verbum, et nox nocti indicat scientium, vt est in Sacra Scriptura.[Si Schlegel veut répondre à Riolan, qu’il se contente de ses derniers opuscules et n’aille pas chercher dans d’autres traités parce qu’en une question difficile et obscure telle qu’est la circulation du sang, les dernières cogitations sont les plus sages, « le jour au jour en publie le récit, et la nuit à la nuit en transmet la connaissance », comme dit l’Écriture sainte].
- Paris, 1652, v. note [14], première Responsio, 2e partie.
L’addition de Riolan porte sur la dernière page (354) de sa Defensio adversus Inquisitione Slegelii de Sanguinis motu [Défense contre la Recherche de Schlegel sur le mouvement du sang].
- Psaumes, v. notule {c}, note [19], première Responsio, 5e partie.
Hyginus Thalassius en souriait, mais Riolan convenait à sa manière que seuls les sots ne changent pas d’avis.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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