Annexe : Autographe français de Jean Pecquet
sur sa propre découverte
(hiver 1651-1652)
Note [5]
Sic pour « et c’est après que j’eus… » : sans être impeccable, le français de Jean Pecquet était moins mauvais que son latin ; il a raturé son résumé, mais l’a remis à son destinataire (sans doute Jacques Mentel) sans l’avoir parfaitement relu.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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