Note [50]
La logique de cette assertion laisse perplexe car elle conclut un paragraphe qui, en partant du thymus, mêle confusément les épanchements sanguins plus ou moins abondants dans les tissus, la galactorrhée, et une hémorragie cataclysmique survenant chez une femme « honnête » (c’est-à-dire non suspecte de s’être fait avorter), en relation possible avec une rupture de grossesse extra-utérine (v. note Patin 9/662).
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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