Texte : Clypeus
de Guillaume de Hénault,
alias Jean Pecquet (1655),
4e de cinq parties
Note [6]
Outre le piètre latin du Clypeus, je remarque une fois encore que Jean Pecquet, son véritable auteur, se laisse aller ici à s’exprimer aux temps présents (nocet, « nuit », et suffragor, « recueille son suffrage ») et non futurs (nocebit, « nuira », et suffragabatur, « recueillera son suffrage ») de conjugaison : v. note [10] de la 3e partie.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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