Annexe : Autographe français de Jean Pecquet
sur sa propre découverte
(hiver 1651-1652)
Note [9]
V. note [4], Experimenta nova anatomica, chapitre vi, pour l’observation des lactifères mésentériques humains par Nicolas Peiresc et Pierre Gassendi (Aix-en-Provence, 1634), chez un condamné qui avait été bien nourri avant d’être pendu. Il est à noter que Jean Pecquet ne faisait pas allusion, faute de la connaître, à la mise en évidence du canal thoracique humain par Thomas Bartholin, dans des circonstances identiques (Copenhague, 1652, v. supra note [2]).
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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