| Note [8] |
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J’interprète les « apophyses du diaphragme » (apophyses diaphragmatis) comme étant ses insertions sur les os, et tout particulièrement ses deux piliers, droit et gauche, qui l’arriment au rachis, depuis la dernière (12e) vertèbre dorsale jusqu’aux trois ou quatre premières lombaires. Le « tronc de l’aorte » (aortæ truncum) est l’aorte abdominale depuis l’orifice diaphragmatique jusqu’à la bifurcation iliaque. L’aorte d’amont (du cœur jusqu’au diaphragme) avait été retirée lors de l’éviscération du thorax. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean Pecquet Experimenta nova anatomica (1651) Chapitre v, note 8. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=0015&cln=8 (Consulté le 08/12/2025) |