Texte : Jean Pecquet
Nova de thoracicis
lacteis Dissertatio
(1654)
Épître dédicatoire, note 6.
Note [6]

Jean Pecquet durcissait ses attaques contre Jean ii Riolan :

  • dans l’ancienne Rome, les andabates étaient des gladiateurs aveugles, ou dont on avait bandé les yeux, qui se battaient les uns contre les autres ; {a}

  • vnote Patin 51/8210 pour le combat du cyclope Polyphème contre Ulysse, qu’il croyait inoffensif, mais qui, avant de lui enfoncer un pieu dans l’œil, lui avait fait croire qu’il s’appelait Utis (c’est-à-dire « personne », en grec). {b}


    1. Juste Lipse les a décrits dans ses Saturnalium Semonum libri duo, qui de Gladiatoribus [Deux livres de Discours saturniens, au sujet des Gladiateurs] (Leyde, 1590, vnote Patin 62/8219, notule {d}), livre ii, chapitre xii, pages 113‑115.

    2. Ces deux références se moquaient sans pitié de l’ophtalmie qui obscurcissait les vieux jours de Riolan, v. note [46], lettre de Sebastianus Alethophilus.

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Jean Pecquet
Nova de thoracicis
lacteis Dissertatio
(1654)
Épître dédicatoire, note 6.

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(Consulté le 10/12/2025)

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