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Jean Pecquet jugeait inutile de préciser que, comme la première, cette deuxième expérience portait sur un chien qui avait été copieusement nourri avant d’être ouvert. La suite laisse aussi entendre que les deux canaux thoraciques n’avaient été liés qu’à leur extrémité supérieure, près des veines axillaires. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean Pecquet Nova de thoracicis lacteis Dissertatio (1654) Expérience ii, note 1. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=0043&cln=1 (Consulté le 10/12/2025) |