Texte : Lettres de soutien
adressées à Jean Pecquet :
Jacques Mentel (1651,
modifiée en 1654), note 21.
Note [21]

Jacques Mentel sacrifiait la clarté à un prétentieux et irritant purisme étymologique : décrivant le cœur, il refusait d’employer le mot « ventricules », préférant parler de ses « cavités » (koilias en grec, specus en latin) ; il poussait même le ridicule jusqu’à proposer de les appeler diribitoria, « débits », ou plus exactement bureaux « où l’on fit d’abord le dépouillement des bulletins de vote, puis, plus tard, les distributions au peuple et le paiement de la solde militaire » (Gaffiot).

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Lettres de soutien
adressées à Jean Pecquet :
Jacques Mentel (1651,
modifiée en 1654), note 21.

Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=0046&cln=21

(Consulté le 09/12/2025)

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