| Note [21] |
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Jacques Mentel sacrifiait la clarté à un prétentieux et irritant purisme étymologique : décrivant le cœur, il refusait d’employer le mot « ventricules », préférant parler de ses « cavités » (koilias en grec, specus en latin) ; il poussait même le ridicule jusqu’à proposer de les appeler diribitoria, « débits », ou plus exactement bureaux « où l’on fit d’abord le dépouillement des bulletins de vote, puis, plus tard, les distributions au peuple et le paiement de la solde militaire » (Gaffiot). |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Lettres de soutien adressées à Jean Pecquet : Jacques Mentel (1651, modifiée en 1654), note 21. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=0046&cln=21 (Consulté le 09/12/2025) |