Texte : Lettres de soutien
adressées à Jean Pecquet :
Jacques Mentel (1651,
modifiée en 1654), note 25.
Note [25]

La « mode pyrrhonienne » (Pyrrhonius mos) consiste à mettre tout en doute (v. note [21], lettre Brevis Destructio, chapitre iv).

Le propos exact de Jean ii Riolan, dans son texte de 1649 (v. supra note [24]), est : An quibus Cor rite salit circa mammillam dextram, talis inest conformatio, dubitare licet ? [Est-il permis de douter que telle est la conformation ordinaire de ceux dont le cœur bat autour du mamelon droit ?] ; ce que Jacques Mentel a adapté en Num quibus Cor salit ad dextram mammillam ; iis delitescentium posituræ partium mutatio intervenerit ? Riolan concluait en disant : Nihil affirmo, quoniam id non satis liquet [Je n’affirme rien parce que ça n’est pas suffisamment clair].

Des deux cas rapportés par Riolan, le plus longuement développé était celui du conseiller à la Cour de Nantes (et non de Rouen).

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Lettres de soutien
adressées à Jean Pecquet :
Jacques Mentel (1651,
modifiée en 1654), note 25.

Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=0046&cln=25

(Consulté le 10/12/2025)

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