| Note [11] |
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Allongement conséquent, en 1654, de la parenthèse qui existait dans l’édition de 1651 : (quæ utinam omnia dissecari à Medicos contingeret ! quantum enim inde pro morbis difficilibus, affulgeret lucis !) [(je souhaite que tous soient un jour ouverts par des médecins, que de lumière jetterait-on ainsi sur les maladies insolites !)]. Dans les deux cas, Adrien Auzout reprochait aux médecins d’abandonner trop souvent aux chirurgiens le soin de disséquer les cadavres. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Lettres de soutien adressées à Jean Pecquet : Adrien Auzout (1651), note 11. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=0048&cln=11 (Consulté le 10/12/2025) |