| Note [8] |
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Un médicament incisif était propre à diviser et atténuer les humeurs, un incrassant avait la vertu contraire de les épaissir, et tous deux appartenaient, avec d’autres, à la vaste catégorie des altérants. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Lettres de soutien adressées à Jean Pecquet : Adrien Auzout (1651), note 8. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=0048&cln=8 (Consulté le 11/12/2025) |