Texte : Jean ii Riolan
Première Responsio (1652) aux
Experimenta nova anatomica
de Jean Pecquet (1651).
2. Critique des chapitres i‑v
des Experimenta nova anatomica, note 10.
Note [10]

Le propos exact de Jean Pecquet (à qui Jean ii Riolan s’adresse ici directement) est :

Verùm, quâ tandem viâ, quibus meatibus, eò Chylus devolveretur, non licuit ob exhaustum animalis jamdudum mactati mesenterium, evanescentibus planè Lacteis cum expressi liquoris effluxu deprehendere. {a}

« Toutefois, je n’eus pas la liberté de chercher le chemin que suit le chyle pour parvenir finalement à ces méats, car mes compressions avaient vidé le mésentère de cet animal déjà mort depuis un bon moment, et on ne voyait plus du tout de liquide dans ses lactifères. »


  1. Avant-dernier paragraphe de la première dissection, chapitre ii, page 6, 1654, et dernier paragraphe, mêmes page et chapitre, 1651, avec remplacement de demonstrare par deprehendere.

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Jean ii Riolan
Première Responsio (1652) aux
Experimenta nova anatomica
de Jean Pecquet (1651).
2. Critique des chapitres i‑v
des Experimenta nova anatomica, note 10.

Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1001&cln=10

(Consulté le 08/12/2025)

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