| Note [17] |
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William Harvey était de nouveau (v. supra note [12]) à deux doigts de la vérité physiologique moderne, mais hélas sans pousser son raisonnement jusqu’à l’idée que l’aliment tiré de l’intestin grêle puisse se séparer en deux parties : celle, glucidique et protidique (sucres et viandes), qui se rend au foie par les veines mésaraïques, et celle, lipidique (graisses), qui emprunte les voies du chyle pour monter dans le thorax. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Trois lettres de William Harvey sur les Experimenta nova anatomica de Jean Pecquet (1652-1655), note 17. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1010&cln=17 (Consulté le 10/12/2025) |