| Note [11] |
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Pour défendre son idée que, durant la grossesse, le fœtus se nourrit de chyle laiteux, Thomas Bartholin niait la différence évidente existant entre le méconium et les matières fécales que les enfants exonèrent après le début de l’allaitement. V. note Patin 25/242 pour l’huile d’amandes douces. On note au passage qu’il croyait aussi, comme Hippocrate (v. infra note [12]), que le fœtus respire dans le ventre de sa mère, ou du moins y reçoit de l’air (ce qui est moins faux), et ce en lien avec le vagissement utérin (v. note [2], notule {a}, Historia anatomica, chapitre x). |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Lettre de Thomas Bartholin à Johann Daniel Horst critiquant l’opinion de William Harvey sur le chyle (1655), note 11. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1011&cln=11 (Consulté le 07/12/2025) |