| Note [23] |
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Héritées de la médecine hippocratique, les quatre qualités de la matière vivante – chaud, froid, humide, sec – encombraient encore désespérément tous les raisonnements médicaux (et même philosophiques) sur le corps sain ou malade, tant en hygiène qu’en thérapeutique. Les plus hardis se hasardaient seulement à ne plus croire en ces vieilles lunes qui réglaient tout l’équilibre supposé des humeurs. Avec sa lymphe froide et humide, Thomas Bartholin se pliait aux règles de son temps. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Lettre de Thomas Bartholin à Johann Daniel Horst critiquant l’opinion de William Harvey sur le chyle (1655), note 23. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1011&cln=23 (Consulté le 08/12/2025) |