| Note [2] | |
Ma traduction a complaisamment épaulé le latin de Thomas Bartholin pour décrire exactement la naissance de la veine cave supérieure à la base du cou : de chaque côté, les veines jugulaires internes et subclavières se réunissent pour former les deux troncs brachiocéphaliques ; leur jonction donne la veine cave, qui est à droite du rachis, si bien que le tronc droit est nettement plus court que le gauche (Bourgery, planche 76, tome iv). Chez l’homme, le canal thoracique n’envoie aucun rameau au côté droit. Chez les chiens, Bartholin tenait pour une vue de l’esprit la répartition symétrique présentée par Jean Pecquet (v. note [7], Experimenta nova anatomica, chapitre ii). Jean ii Riolan a plusieurs fois reproché à Pecquet sa description de deux canaux thoraciques se déversant dans les deux axillaires. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Thomas Bartholin Historia anatomica sur les lactifères thoraciques (1652) chapitre xii, note 2. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1032&cln=2 (Consulté le 09/12/2025) |