Texte : Clypeus
de Guillaume de Hénault,
alias Jean Pecquet (1655),
1re de cinq parties, note 23.
Note [23]

Dans cette première partie, l’auteur du Clypeus s’est volontiers exprimé à la première personne du pluriel. Ma traduction n’en a pas fait un « nous » singulier de majesté ou de modestie car, conformément à la syntaxe latine usuelle, j’ai estimé qu’il exprimait l’opinion de Jean Pecquet et de ses défenseurs, plutôt que celle du seul Guillaume de Hénaut, tout en étant convaincu que Pecquet aurait été bien plus capable que lui d’écrire tout ce qu’on y lit. Ma remarque vaut pour toute la suite du Clypeus, où alternent néanmoins, et sans logique bien identifiable, le « nous » et le « je ».

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Clypeus
de Guillaume de Hénault,
alias Jean Pecquet (1655),
1re de cinq parties, note 23.

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(Consulté le 08/12/2025)

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