| Note [1] | |
Guillaume de Hénaut, alias Jean Pecquet, poursuivait sa critique méthodique de la lettre de Charles Le Noble à Jean ii Riolan (première partie, pages 11‑15), dont il reprenait de copieux extraits (traduits « entre guillemets »). Cette 4e partie du Clypeus en abordait le point crucial, tenant à la pénétration d’une partie du chyle dans le foie, par la voie des veines sanguines mésaraïques, tandis que l’autre se rend dans le cœur par les lactifères thoraciques ; soit ce que la physiologie moderne a établi, et que Le Noble a été, à ma connaissance, le premier à clairement concevoir (v. infra note [3]). Ce passage est tiré des pages 11‑12 : v. leur note [15] pour la douve hépatique du mouton, dont Pecquet avait parlé dans l’expérience i de sa Nova Dissertatio (1654, v. sa note [14]). |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Clypeus de Guillaume de Hénault, alias Jean Pecquet (1655), 4e de cinq parties, note 1. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1044&cln=1 (Consulté le 11/12/2025) |