| Note [6] |
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Outre le piètre latin du Clypeus, je remarque une fois encore que Jean Pecquet, son véritable auteur, se laisse aller ici à s’exprimer aux temps présents (nocet, « nuit », et suffragor, « recueille son suffrage ») et non futurs (nocebit, « nuira », et suffragabatur, « recueillera son suffrage ») de conjugaison : v. note [10] de la 3e partie. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Clypeus de Guillaume de Hénault, alias Jean Pecquet (1655), 4e de cinq parties, note 6. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1044&cln=6 (Consulté le 11/12/2025) |