| Note [5] |
|
Sans explication que j’aie su trouver, Jean ii Riolan répétait l’argument développé dans le paragraphe précédent (v. supra note [4]) : il s’enferrait dans les paradoxes de sa circulation non harvéenne, prétendument hippocratique, pour défendre l’idée que le chyle se distribue dans tout le corps (et pas seulement dans le cœur) en passant par les veines. |
|
| Imprimer cette note |
|
Citer cette note
x
Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean ii Riolan Responsiones duæ (1655), seconde Responsio au livre de Jean Pecquet (1654) 4. Seconde partie, note 5. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1053&cln=5 (Consulté le 09/12/2025) |