| Note [21] |
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Pline le Jeune, Lettres, livre ix, xiv : « J’ignore si la postérité aura pour nous quelque considération ; à vrai dire, nous la méritons un peu ; sûrement pas pour notre génie (ce serait de l’orgueil), mais pour notre application, pour notre labeur, pour notre respect envers ceux qui nous suivront. » |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean ii Riolan Responsiones duæ (1655), Responsio ad Pecquetianos 2e de 6 parties, note 21. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1055&cln=21 (Consulté le 08/12/2025) |