Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
2e de 6 parties, note 38.
Note [38]

Idylles d’Ausone, Épicède {a} de Julius Ausonius, son père, {b} vers 11‑12 :

« J’ai offert gratuitement le secours de mon art à tous ceux qui l’ont réclamé, et mes soins n’allaient pas sans charité. »


  1. Chant funéraire.

  2. Ausone, Decimus Magnus Ausonius (vnote Patin 9/335), était fils de Julius Ausonius, premier médecin de l’empereur Valentinien ier.

Le médecin à qui Jean ii Riolan disait avoir généreusement « tendu la main » n’était pas le philiatre Jean Pecquet, mais le docteur régent Pierre De Mercenne.

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
2e de 6 parties, note 38.

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(Consulté le 07/12/2025)

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