| Note [38] |
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Idylles d’Ausone, Épicède {a} de Julius Ausonius, son père, {b} vers 11‑12 : « J’ai offert gratuitement le secours de mon art à tous ceux qui l’ont réclamé, et mes soins n’allaient pas sans charité. » Le médecin à qui Jean ii Riolan disait avoir généreusement « tendu la main » n’était pas le philiatre Jean Pecquet, mais le docteur régent Pierre De Mercenne. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean ii Riolan Responsiones duæ (1655), Responsio ad Pecquetianos 2e de 6 parties, note 38. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1055&cln=38 (Consulté le 07/12/2025) |