Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
2e de 6 parties, note 47.
Note [47]

Le latin de ce paragraphe vient de diverses sources.

  • Jean ii Riolan reprenait d’abord un fragment du chapitre i de la Brevis Destructio, où Hyginus Thalassius citait Sénèque le Jeune (De la Colère) disant qu’« il faut soigner les esprits par des paroles de grande douceur » (v. note [26] du dit chapitre).

  • Vnote Patin 15/630 pour les deux adages antiques contraires, « l’homme est un loup pour l’homme » et « l’homme est un dieu pour l’homme », qu’Érasme a commentés.

  • Suivaient enfin deux nouveaux emprunts à La Colère de Sénèque :

    • livre ii, x, « Tu feras mieux de penser qu’il n’y a pas lieu de s’irriter contre les erreurs » (v. la susdite note [26]) ;

    • livre i, xv, « Il faut corriger celui qui commet une faute, par des avertissements ou par la force, avec douceur ou avec dureté ; aussi bien pour lui-même que pour les autres, il faut améliorer le coupable, non sans le corriger, mais sans colère, car s’irrite-t-on contre un malade ? »

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
2e de 6 parties, note 47.

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(Consulté le 08/12/2025)

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