| Note [48] | |
V. notes :
Riolan n’a pas honoré Sorbière du titre de « docteur pecquétien » car il n’était pas gradué de la Faculté de médecine de Paris, mais avait obtenu son doctorat en Hollande dans les années 1640. Revenu en France en 1650, il avait été « ministre » (pasteur) et « gymnasiarque » (principal) du collège « hérétique » (calviniste) d’Orange (principauté alors rattachée aux Provinces-Unies, v. note Patin 8/62). |
|
| Imprimer cette note |
|
Citer cette note
x
Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean ii Riolan Responsiones duæ (1655), Responsio ad Pecquetianos 2e de 6 parties, note 48. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1055&cln=48 (Consulté le 08/12/2025) |