Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
3e de 6 parties, note 12.
Note [12]

« Un vainqueur de cette force nous procurera de grandes consolations, il sera plus glorieux de l’avoir combattu que honteux d’avoir perdu » : inversion et altération des vers 6‑7, livre ix, des Métamorphoses d’Ovide : {a}

Turpe fuit vinci, quàm contendisse decorum est :
Magnaque dat nobis tantus solatia victor
. {b}


  1. Paroles d’Achéloos après le combat qu’il perdit contre Hercule.

  2. En mettant ces vers au futur (dabit pour dat, et foret pour est), Jean ii Riolan convenait qu’il allait probablement perdre contre William Harvey.

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
3e de 6 parties, note 12.

Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1056&cln=12

(Consulté le 08/12/2025)

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