Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
3e de 6 parties, note 25.
Note [25]

« Je vais m’en aller à Argos pour ne pas être reconnu, car ici chacun sait qui je suis » : fragment du Diomedes de Lucius Accius, tragédien latin du ier s. av. J.‑C., avec referam ou lieu de conferam (même sens).

V. notes Patin :

  •  17/238 pour le chapitre de Gabriel Naudé sur l’invention de l’imprimerie dans son Addition à l’histoire de Louis xi (Paris, 1630), où il l’attribue aux Chinois puis, indépendamment d’eux, aux artisans de Haarlem ou de Mayence, avec une préférence pour les premiers ;

  • 18/246 pour le passage où il évoque Strasbourg et Jean Mentelin, mais sans croire les auteurs qui défendent cette hypothèse.

Sur le même sujet, l’extrait du Mascurat de Naudé (Paris, 1649) est transcrit dans la 6e partie de la Responsio ad Pecquetianos. Je n’ai rien trouvé d’autre que Naudé ait écrit là-dessus avant sa mort (juillet 1653).

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
3e de 6 parties, note 25.

Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1056&cln=25

(Consulté le 08/12/2025)

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