Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
3e de 6 parties, note 35.
Note [35]

L’Ibidem (« Au même endroit ») de Jean ii Riolan fait croire qu’il continuait à parler du Clypeus, mais il laissait le lecteur deviner qu’il visait une autre cible : pour clarifier son argumentation désordonnée, j’ai inséré le nom d’Hyginus Thalassius (alias Pierre De Mercenne) car c’est lui qui avait attribué à Riolan ce propos sur Jean Pecquet dans le chapitre iii de la Brevis Destructio, au début de la page 196 ; la suite confirme que la critique portait bien sur ce chapitre.

Le vers de Virgile qui précède, « exercer sans gloire un art silencieux », vient de l’Énéide (chant xii, vers 397) ; v. notule {a}, note Patin 4/8208, pour Iapix qui soigna la plaie d’Énée, et que les commentateurs ont identifié à Antonius Musa, médecin romain de l’empereur Auguste.

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
3e de 6 parties, note 35.

Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1056&cln=35

(Consulté le 08/12/2025)

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