| Note [30] |
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La brusque interruption de Jean ii Riolan veut-elle dire qu’il rendait les armes sur ce point ? La phrase exacte d’Hyginus Thalassius était plus circonspecte, mais ne prêtait guère le flanc au blâme : « Ce n’est donc pas du chyle qui parvient au cœur, mais du sang imprégné d’une portion du chyle ; et par ce mélange, c’est une petite quantité de chyle, car il sourd goutte à goutte dans les subclavières, qui se dilue dans une grande quantité de sang et se trouve alors déjà presque transformée en sang, de la même façon qu’une goutte d’eau répandue dans beaucoup de vin devient vin. » |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean ii Riolan Responsiones duæ (1655), Responsio ad Pecquetianos 4e de 6 parties, note 30. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1057&cln=30 (Consulté le 08/12/2025) |