| Note [39] |
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« Rien n’est plus sot qu’un homme sans expérience, qui ne trouve bien que ce qu’il fait », Térence, Les Adelphes, vers 99-100 : Homine inperito numquam quicquam iniustius est, |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean ii Riolan Responsiones duæ (1655), Responsio ad Pecquetianos 4e de 6 parties, note 39. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1057&cln=39 (Consulté le 08/12/2025) |