| Note [11] | |
Dans tout ce passage, Jean ii Riolan voulait montrer l’impossibilité d’attribuer la sanguification au cœur, en recourant toutefois à certains arguments obscurs ou incompréhensibles.
Le latin embrouillé de Riolan peut faire penser qu’il était à court d’arguments pour démolir la répartition du chyle entre le foie et le cœur, telle que la défendait ingénieusement Hyginus Thalassius. Dans ses trois lettres sur le chyle, William Harvey l’a tenu pour accessoire dans la nutrition corporelle et n’a en aucune façon considéré que son mouvement éclairait la circulation du sang. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean ii Riolan Responsiones duæ (1655), Responsio ad Pecquetianos 5e de 6 parties, note 11. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1058&cln=11 (Consulté le 11/12/2025) |