Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
5e de 6 parties, note 28.
Note [28]

« Salut, Maître », trahison de Judas dans Matthieu, 26:48‑49 (latin de la Vulgate) :

Qui autem tradidit eum, dedit illis signum, dicens : Quemcumque osculatus fuero, ipse est, tenete eum. Et confestim accedens ad Jesum, dixit : Ave Rabbi. Et osculatus est eum.

« Celui qui le trahissait leur avait donné un signe : “ Celui à qui je donnerai un baiser, c’est lui, arrêtez-le. ” Et aussitôt, s’avançant vers Jésus, il dit : “ Salut, Rabbi ! ”, et il lui donna un baiser. »

Dans le chapitre ii de sa Brevis Destructio, page 190, Hyginus Thalassius avait écrit :

« À vrai dire, si Riolan s’est permis de clamer et vanter sa science en maints endroits de ses livres, n’a-t-il pas dépassé les bornes de la modestie quand il s’est établi comme le plus puissant athlète de l’anatomie, et même comme un roi capable de rivaliser avec Alexandre le Grand ? »

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
5e de 6 parties, note 28.

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(Consulté le 11/12/2025)

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