| Note [9] |
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Jean ii Riolan était de mauvaise foi : dans la 3e partie de sa première Responsio à Jean Pecquet (1652, pages 153‑154), il avait exposé son vif désir d’obtenir à Paris la même autorisation de disséquer des condamnés pendus après avoir été copieusement nourris, mais il avait dû essuyer un refus ou changer d’idée ; peut-être par crainte de voir ce qu’il ne voulait pas croire, à savoir que des lactifères thoraciques sont présents et que leur disposition générale est identique chez tous les mammifères. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Observationes de Venis lacteis (1655). 3. Réponse de Jean ii Riolan à Charles Le Noble, note 9. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1062&cln=9 (Consulté le 11/12/2025) |