Texte : Observationes de Venis lacteis (1655).
4. Appendice de la lettre
de Jean ii Riolan à
Charles Le Noble, note 18.
Note [18]

Ces variantes de coloration hépatique viennent encore du livre iii de Guillaume Rondelet sur les poissons, chapitre xix, De Hepate et Splene [Le foie et la rate], dont Jean ii Riolan n’a curieusement pas repris le début (page 71) :

Piscium aliis hepar est dicretum, aliis non discretum, quod tamen hepatis functiones obit. Cùm enim hepar venarum sit origo, et sanguinis fons, qui cibo succove aliquo nutriuntur, ventriculo, hepate, intestinis carere non possunt.

[Certains poissons ont un foie séparé, d’autres non, mais sans être dépourvus des fonctions hépatiques : puisque le foie est l’origine des veines et la source du sang, les animaux qui se nourrissent de mets solides ou de quelque suc ne peuvent être dénués d’un estomac, d’un foie et d’intestins].

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Observationes de Venis lacteis (1655).
4. Appendice de la lettre
de Jean ii Riolan à
Charles Le Noble, note 18.

Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1063&cln=18

(Consulté le 10/12/2025)

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