| Note [6] |
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Ces aberrations médicales font à présent sourire, mais font surtout bien comprendre ce qu’était la circulation sanguine de Galien, raffinée par Jean ii Riolan, et le gigantesque bond en avant qu’a permis la découverte de William Harvey. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Observationes de Venis lacteis (1655). 4. Appendice de la lettre de Jean ii Riolan à Charles Le Noble, note 6. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1063&cln=6 (Consulté le 10/12/2025) |