| Note [5] |
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Sic pour « et c’est après que j’eus… » : sans être impeccable, le français de Jean Pecquet était moins mauvais que son latin ; il a raturé son résumé, mais l’a remis à son destinataire (sans doute Jacques Mentel) sans l’avoir parfaitement relu. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Annexe : Autographe français de Jean Pecquet sur sa propre découverte (hiver 1651-1652), note 5. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1527&cln=5 (Consulté le 11/12/2025) |