Texte : Hyginus Thalassius (1654)
alias Pierre De Mercenne,
Brevis Destructio de la
première Responsio (1652)
de Jean ii Riolan (1654) :
chapitre ii, note 7.
Note [7]

« Pourtant, qui connaît sa propre grandeur peine à se convaincre qu’on l’a blessé », abrégé de Sénèque le Jeune, De la Constance du sage, chapitre x :

Sapiens autem a nullo contemnitur, magnitudinem suam novit nullique tantum de se licere renuntiat sibi et omnis has, quas non miserias animorum sed molestias dixerim, non uincit sed ne sentit quidem

[Personne pourtant ne méprise le sage : il connaît sa propre grandeur ; il pense que nul n’a plus de pouvoir sur lui que lui-même ; non seulement il surmonte entièrement ces mots d’esprit que j’appellerais des méchancetés, mais il ne les sent même pas].

Pour justifier les bonnes intentions de Jean Pecquet à l’égard de Jean ii Riolan, une note marginale d’Hyginus Thalassius renvoie au chapitre i des Experimenta nova anatomica, pages 3‑4.

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Hyginus Thalassius (1654)
alias Pierre De Mercenne,
Brevis Destructio de la
première Responsio (1652)
de Jean ii Riolan (1654) :
chapitre ii, note 7.

Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=0051&cln=7

(Consulté le 08/12/2025)

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