| Note [30] | |
V. note [1], Responsiones duæ, préface au lecteur pour ce mythe égyptien. Jean ii Riolan était passé à la critique du chapitre ii des Experimenta nova anatomica. Je n’ai trouvé de source ni à la « chaude et hurlante tuerie de chiens aux abois » (que j’ai traduite en italique), ni à l’anecdote sur la prévention de la rage en Allemagne, qu’il avait peut-être apprise d’un de ses étudiants venus de là-bas. Il a néanmoins consacré le chapitre i, livre vii (pages 413‑417) de son Anthropographie (Paris, 1649) aux vivisections, Viventis animalis Observationes Anatomicæ [Observations anatomiques de l’animal vivant], sans en nier les mérites, notamment dans la découverte des lactifères mésentériques par Gaspare Aselli (v. note [5‑2] de sa première Responsio, 3e partie). |
|
| Imprimer cette note |
|
Citer cette note
x
Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean ii Riolan Responsiones duæ (1655), Responsio ad Pecquetianos 2e de 6 parties, note 30. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1055&cln=30 (Consulté le 08/12/2025) |