| Note [44] | |
« Le mieux à faire est de suivre les traces de nos prédécesseurs s’ils ont marché droit, car ceux qui ont connu ces choses avant nous ne sont pas nos maîtres, mais nos guides » ; adaptation de Sénèque le Jeune, Lettres à Lucilius, livre iv, fin de l’épître xxxiii : Quid ergo ? non ibo per priorum uestigia ? ego uero utar uia uetere, sed si propiorem planioremque inuenero, hanc muniam. Qui ante nos ista mouerunt non domini nostri sed duces sunt. Patet omnibus ueritas ; nondum est occupata ; multum ex illa etiam futuris relictum est. |
|
| Imprimer cette note |
|
Citer cette note
x
Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean ii Riolan Responsiones duæ (1655), Responsio ad Pecquetianos 2e de 6 parties, note 44. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1055&cln=44 (Consulté le 08/12/2025) |