V. notes :

• Patin 14/345 pour la conversion de Samuel Sorbière, alias Sebastianus Alethophilus, du calvinisme au catholicisme, en 1653, et pour le livre qu’il a publié à ce sujet en 1654, suivi de son accession à la prêtrise ;

• [24], seconde Responsio de Jean ii Riolan, première partie, pour sa charge d’aumônier de François Fouquet, évêque d’Agde et protecteur de Jean Pecquet ; mais Sorbière n’obtint pas de bénéfice ecclésiastique plus conséquent (abbaye ou évêché).

Riolan n’a pas honoré Sorbière du titre de « docteur pecquétien » car il n’était pas gradué de la Faculté de médecine de Paris, mais avait obtenu son doctorat en Hollande dans les années 1640. Revenu en France en 1650, il avait été « ministre » (pasteur) et « gymnasiarque » (principal) du collège « hérétique » (calviniste) d’Orange (principauté alors rattachée aux Provinces-Unies, v. note Patin 8/62).