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Décidément fort bien informé, Jean ii Riolan ne se laissait pas abuser par le pseudo-brevet de noblesse {a} que le chancelier Pierre Séguier {b} avait accordé (ou vendu) à Jacques Mentel, sur l’intervention de son médecin, Marin Cureau de La Chambre, très influent docteur de Montpellier, {c} dont la charge de « premier des médecins ordinaires du roi » était honorifique (mais acquise moyennant une forte somme d’argent). {d}
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean ii Riolan Responsiones duæ (1655), Responsio ad Pecquetianos 3e de 6 parties, note 29. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1056&cln=29 (Consulté le 08/12/2025) |