Note [18]
Cette somme correspondait exactement au déficit apparu dans le bilan final des Comptes de 1650‑1651 (v. leur note [30]) : le doyen en avançait symboliquement le montant sur ses fonds personnels, qui lui était remboursé l’année suivante ; cette somme alimentait chaque année la dette de la Faculté (v. note [17] des Décrets et assemblées de 1651‑1652).
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