| Note [7] |
|
« Ce vaurien pratique une médecine qui l’enrichit et croit que tout lui est dû, par tous les moyens, honnêtes comme malhonnêtes, tant son esprit est emporté par la philargyrie. {a} “ Les chiens rêvent de pain, et les pêcheurs de poissons ” ; {b} en vérité, cet homme trouve bon tout ce qui lui procure pièces d’or et d’argent. » |
|
| Imprimer cette note |
|
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 11 octobre 1658, note 7.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0541&cln=7 (Consulté le 11/12/2025) |