Note [1]
En disant qu’elles n’ont nihil faciunt ad rhombum, « rien à voir avec un turbot » (dans une traduction plus littérale,v. note Patin 7/514), Jean ii Riolan marquait son complet désintérêt pour les ingénieuses expériences de physique rapportées dans les chapitre viii‑ix de la Dissertatio anatomica.
Riolan a brièvement abordé ici, mais développé dans une section séparée, son analyse des chapitres i‑v de la Dissertatio anatomica qui traitent des opinions de Jean Pecquet sur la circulation sanguine.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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