Texte : Jean Pecquet
Dissertatio anatomica
de circulatione sanguinis
et motu chyli (1651)
Chapitre v
Note [11]
Sans être exagérément complaisant, il est difficile de ne pas voir ici un pressentiment de l’hématose moderne (c’est-à-dire distincte de la sanguification à qui on donnait jadis ce nom, v. note [2], Experimenta nova anatomica, chapitre i) :
Charles Le Noble a exposé plus clairement encore la même intuition dans sa lettre à Jean ii Riolan, 1re partie (v. sa note [9]).
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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