Note [12]
Jean ii Riolan a déjà émis cette critique dans la précédente partie de sa première Responsio (v. sa note [46]). Dans tout ce développement sur la toxicité de la bile et du chyle mêlés au sang, il feignait d’adhérer à la circulation harvéenne (v. note [33], Responsio ad Pecquetianos, 4e partie), mais ce n’était que pour mieux contrer Jean Pecquet qui en était un fervent défenseur.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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